😉 Evident, non ? 

Deux raisons principales à ce chiffre : 

😊 La confiance en l’humain 

Une candidature, comme nous le répétons souvent, c’est un acte engagé et engageant qui mobilise beaucoup d’émotions. C’est un peu comme une déclaration d’amour qu’on rédige en imaginant l’Humain qui la lira et y sera sensible. 

Qui dit émotions, sous-entend aussi une certaine empathie. 

Concrètement : On a besoin pour se projeter dans une aventure humaine collective de s’adresser à des humains 

😌 La défiance en l’IA 

D’une manière générale l’IA est perçue comme une menace. Pas humaine, elle est paramétrée pour copier l’humain (du moins la faible). Il y a donc un vrai flou qui s’installe sur les critères et le paramétrage défini qui va « décider ». L’utilisation d’une IA crée donc naturellement une distance et un doute. 

Que ces croyances soient vraies ou pas, elles existent, elles créent de la défiance qui perturbe l’action. 

Concrètement : On a besoin d’être informé, donc considéré, pour être rassuré 

Pour éviter les freins et rassurer sur les croyances qui perdurent : 

🌱 Communiquez sur les actions que vous confiez à l’IA  

= Permettra de limiter les fantasmes et de construire une relation de confiance 

🌱 Expliquez quand la candidature sera en contact avec un humain et quel humain (Dirigeant, RH, manager…) 

= Permettra de rendre visible la part de l’IA dans votre processus de recrutement et de rassurer 

Et comme IA ou pas IA, une candidature reste fragile, continuez à appliquer les bonnes pratiques : 

👉 Rendre visible votre processus de recrutement 

👉 Identifier un contact référent « humain » 

👉 Personnaliser l’approche candidat via un persona 

👉 Créer un circuit de candidature court et intuitif 

👉 Répondre à tous les candidats 

En bref soigner l’expérience candidats reste fondamentale pour apporter la considération que les candidats attendent.